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Addictions et solutions naturelles

 

a) intro

b) fonctionnement

c) symptômes

 

d) différents niveaux

e) origine

f) addiction

g) décrocher

 

Dans ce chapitre, nous allons voir quelques addictions et quelles astuces à mettre en place pour diminuer sa consommation. Une chose importante a noté : “avouer son addiction et vouloir y remédier de soi-même, est le premier pas”.

 

a)    Introduction

 

Les addictions sont des pathologies cérébrales définies par une dépendance à une substance ou une activité, avec des conséquences délétères. Sachez que les dépendances peuvent survenir à tout moment de l’existence, mais la période de 15 à 25 ans est la plus propice à leur émergence.


 b)    Comment ça fonctionne :

 

Au début, consommer une substance addictive donne du plaisir en libérant de la dopamine, de la sérotonine ou en activant les récepteurs aux endorphines, ce qui installe dans un état de bien-être. Ensuite au fur et à mesure de la consommation, le niveau d’endorphines diminue, on ne parvient à se donner du plaisir qu’en consommant de plus en plus, et en augmentant les doses. Cette surconsommation induit ensuite une augmentation de la tolérance à la substance et donc une sensation de manque lorsqu’on doit s’en passer. C’est ainsi que s’installe l’addiction.


 c)    Quels sont les symptômes :

 

- Besoin impérieux et irrépressible de consommer la substance ou d'effectuer l'activité

- Perte de contrôle sur la quantité et le temps dédié à la prise de substance ou à l'activité

- Beaucoup de temps consacré à la recherche de substances ou à l'activité

- Augmentation de la tolérance au produit addictif

- Présence d’un syndrome de sevrage, c’est-à-dire de l’ensemble des symptômes provoqués par l’arrêt brutal de la consommation ou de l'activité

- Incapacité de remplir des obligations importantes

- Usage même lorsqu'il y a un risque physique

- Problèmes personnels ou sociaux

- Désir ou efforts persistants pour diminuer les doses ou l’activité

- Activités réduites au profit de la consommation ou de l'activité

- Poursuite de la consommation malgré les dégâts physiques ou psychologiques

 

Présence de 2 à 3 critères : addiction faible

Présence de 4 à 5 critères : addiction modérée

Présence de 6 critères ou plus : addiction sévère


 d)    Différents niveaux :

 

-  Usage (ou usage simple) : consommation occasionnelle ou régulière qui n’entraîne pas de problème de santé ou d’autre dommage à court terme. Toutefois, des complications peuvent survenir à moyen ou à long terme.

-  Usage nocif (ou abus) : consommation répétée qui est responsable de complications sur le plan de la santé (dépression, cirrhose, cancer…), de la vie privée (séparation, violences, problèmes financiers…) et/ou du travail (absentéisme, accidents du travail…). Ce comportement est pathologique.

 

-  Dépendance (également appelée addiction) : le sujet ressent un désir puissant de continuer sa consommation malgré toutes les complications existantes. Il n’arrive pas à contrôler ce besoin et des effets de « manque » peuvent se ressentir. Le sujet se désinvestit de toutes ses activités familiales, sociales et professionnelles. Toute sa journée est organisée autour de la consommation de substances psychoactives. Ce comportement est pathologique. Lors de l’arrêt, un syndrome de sevrage peut survenir.

 

A savoir que :

- L'alcool et le cannabis sont les moins addictogène

- Le tabac, l'héroïne et cocaïne sont très addictogène


 e)    Point de départ :

 

- La génétiques

- Trouble émotionnel

- Maladie psychiatrique

- Trouble du comportement (ex : boulimie)

- Traumatisme

- L'environnement (famille, amis...)


  f)     Les différentes addictions :

 

Il peut en avoir de beaucoup de sortes différentes, je ne citerais donc que les plus courantes, selon moi.

 

 

- Drogue

- Tabac

- Alcool

- Sucre (sucrerie, soda...)

- Ecrans

- Jeux vidéo

- Jeux d'argent

- Achats compulsifs

- Sexe

 

- Beauté ou trouble de l’image

Je définis cela, par les personnes qui se prive de manger, font des régimes / du sport / de la chirurgie, en mettant leur santé en danger pour arriver à leur corps idéal. Ne voient plus la limite.


 g)    Comment décrocher ?

 

La dépendance est toujours en lien avec le circuit de la récompense et du plaisir.

Se sevrer brutalement expose à des troubles aussi bien physiques que psychiques, et ne résout pas le problème de fond qui a conduit à la dépendance ou l’addiction.

C'est pourquoi il est important d'être suivit par un thérapeute spécialiser : psy, hypnose, ho'oponopono, acupuncture, sophrologie, kinésiologue ou d'autre thérapie énergétique. Cela permettrait de trouver la cause du démarrage de la consommation.

 

Dans toutes les étapes du sevrage, la nature propose de multiples remèdes floraux adaptés aux difficultés rencontrées : syndrome du manque, débordements émotionnels, anxiété, stress, découragement, déprime, boulimie etc., à utiliser sous forme de Fleurs de Bach, de formules aromatiques très efficaces en olfactothérapie, et d’une panoplie de plantes adaptogènes qui vont soit accompagner efficacement le sevrage, soit également rééquilibrer les fonctions physiologiques et nerveuses.

 

Les aides :

 

-       Le kudzu* se présente sous deux formes : la poudre de racine et la fécule.

Privilégiez la poudre de racine sous forme de gélules 250mg, à raison de 2 à 3 grammes par jour en trois prises avant le repas avec un verre d’eau, matin et soir. 3 de plus dans la journée en début de sevrage et diminuer progressivement les doses au fur et à mesure.
* Il est contre-indiqué en cas de grossesse, d’allaitement ou en cas d’antécédent de cancer du sein hormono-dépendant.

 

-       Le Valériane aide au sevrage grâce à ces propriétés myorelaxantes. En complément du Kudzu, elle permet de tenir la cure. En effet, elle a un effet sédatif qui permet de régler les problèmes d’irritabilité, de nervosité et de trouble du sommeil, lié au sevrage.
Gélules de 250mg 2 vers 17h et 2 avant de se coucher.

 

-       Si le sevrage est très difficile et vos émotions partent en cacahuète, je vous invite à revoir les fleurs de bach ou l’aromathérapie qui aide à les réguler. En plus vous pouvez également utiliser des pierres de lithothérapies.

 

-       Une fois qu’on est à la fin du sevrage, il est conseillé de faire une cure détox pour éliminer la substance nocive de l’organisme surtout du foie, la plus efficace est la cure de Jus avec du Psyllium et des lavements.
Sachez que les toxines se sont accumulée dans les intestins si la détox est trop brutal pour votre organisme, il va évacuer beaucoup de toxines dans le corps. Ce phénomène va engendrer une chute du bien-être (sensation de déprime, fatigue, manque d’envie, irritabilité…) qui persistera, alors il est préférable de diminuer l’intensité de la cure. Par exemple, faites une cure 1 semaines ou 3 jours de cure puis normal, ainsi de suite. Faites également des lavement et irrigation colonique une fois par semaine jusqu’à aller bien (max 10).

 

-       Pour toutes les addictions, il est conseillé de suivre un spécialiste qui essaiera de comprendre qu’elle est la cause profonde de ce mal. Cela est encore plus valable pour les troubles alimentaires, de l’image, les obsessions…On peut néanmoins comme pour les autres, utiliser l’aromathérapie, les fleurs de Bach et lithothérapie pour stabiliser ces émotions.

 

-       Pour ce qui est des addictions aux écrans, jeux vidéo ou réseaux sociaux, il y a des petites astuces. Eteindre écran à certains moments, une à deux heures par jour, pour faire une activité manuelle ou sociale ou du sport.
Pour votre portable, désactivé le plus de notification, limité également les « suivre » sur les réseaux sociaux. Je vous invite à aller voir ici pour plus d’informations sur la nocivité des écrans.

 

-       Pour les addictions alimentaires :

Vous êtes plutôt

 

Des fringales de sodas, bonbons, pâtes…
Instabilité émotionnelle

Pour les accrocs au sucre, consommez de la glutamine ou du chrome, elle empêche le cerveau de passer en état d’alerte quand le taux de sucre diminue dans le sang et permet donc de stabiliser votre glycémie et évite la surconsommation de sucre. 1gr 3X/J

Hyperémotive
Besoin de complet sa tristesse par la nourriture

Envie irrésistible de certain aliment sans pouvoir s’en passer

La souffrance du mental est liée au synthèse d’endorphine. Il est donc judicieux de consommer des aliments riche en phénylalamine (spiruline, tofu, noix, lentille…) associé avec L-glutamine 500mg 3X/J

Angoisse, anxiété, phobies, pensées négatives…
Estime en berne
irritabilité, changement d’humeur

Fringale en fin d’après-midi ou nocturne
Trouble du sommeil

Attirance pour le sucre et le chocolat

Il faut augmenter la concentration de sérotonine par un apport de L-tryptophane, entre 500mg et 1000mg.

Stress

Tension musculaire

Difficulté à se relaxer
Compensation par les sucrerie, féculent, alcool

Le GABA va aider les cellules nerveuses à se détendre. Pour la favoriser sa synthèse, il fait une alimentation suffisamment roche en glutamine, acide aminé et de la vitamine B6 ainsi de du Magnésium. 500mg GABA1x /J
N’hésitez pas à prendre des plantes ou des Huiles essentielles relaxantes.

Etat dépressif, manque de motivation
Compensation par la caféine, sucrerie, féculent, chocolat, tabac

Dans ce cas-ci, acétyl-L-tyrosine, de la curcumine, du ginko biloba et L-théanine. Entre 500 et 1000mg / J en 3 prises. Ce qui permet le niveau de dopamine, de la faire circuler plus facilement jusqu’au cerveau mais également augmenter les neurotranmetteurs.

 Je vous conseille quand d’être suivit par un naturopathe ou/et kinésiologie. Il y a également des ouvrages que vous pouvez lire « la bible de la naturopathie spécial minceur » et « Manger en plein conscience ».

 

Source : http://www.inrs.fr/risques/addictions/donnees-generales.html

https://www.drogues.gouv.fr/comprendre/l-essentiel-sur-les-addictions/qu-est-ce-qu-une-addiction

https://bioinfo.be/

 


23/09/2020
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